Zone de dialogue interactif

Sélectionner un bouton pour accéder aux séquences

Commentaires: 5
  • #5

    Chaney MC (dimanche, 12 mars 2023 09:31)

    Oui, Mallarmé n'est pas forcément musicien mais comme tous les symbolistes: il suggère afin de peindre non la chose mais l'effet produit.
    Mallarmé serait à revoir dans la prochaine rencontre car il est plein de mystère .Il se sert de symboles à découvrir. (Oeuvre d'Art à creuser.)
    L'après-midi d'un faune: bien de Debussy .
    Dans mon commentaire , il avait été mal placé.Excuse...

  • #4

    Chaney MC (samedi, 11 mars 2023 22:03)

    Juste un ajout à Monique:
    -La Fontaine mort en 1695 pratiquait le vers libre dans ses fables.

  • #3

    Trinquet (samedi, 11 mars 2023 18:40)

    Charles Trénet artiste, chanteur, poète et peut-être philosophe,
    (extraits)
    "Ah qu'il est beau le débit de lait
    Ah qu'il est laid le débit de l'eau
    Débit de lait si beau débit de l'eau si laid
    S'il est un débit beau c'est bien le débit de lait"...

    A un verre de lait si beau de ci
    On trouve un verre d'eau si laid de là.
    Et puis mariage, le laid et le beau ne font plus q'un.
    (Touche personnelle)

    "Ah qu'il est beau le débit de lait
    Ah quel palais le débit de l'eau"

    Ce qui est beau ne pourrais pas exister sans ce qui est laid; la dualité.
    Ils sont opposés pour nous occidentaux mais ils sont complémentaires également.
    Ces deux principes se fondent dans une unité et baignent dans l'harmonie.
    Et puis l'eau n'est pas si laide puisqu' on la boit. L'eau c'est la vie.
    Le laid fait partie de la vie comme le beau, dualité sublime!

    Une route bien droite; l'observateur remarque deux accotements. Ils deviennent de plus en plus rapprochés; au loin ils se confondent en un point. Pourtant les deux accotements existent toujours .
    Les deux accotements s'opposent, le gauche et le droit, la route les sépare. Et pourtant ils s'unissent visuellement au loin.



  • #2

    Trinquet B (jeudi, 02 mars 2023 16:18)

    avant de parler de Berlioz un rapide rappel de Debussy.
    Debussy a composé "Prélude à l'après midi d'un faune" entre 1892 et 1894 ( pas LISTZ ), d'après un poême de Stéphane Marllarmé. Il ne dit pas de quel faune il s'agit (poisson, mammifère...)
    Dans la documentation d'un de mes disques sur le sujet, il est précisé que "Debussy s'affirme indiscutablement comme un poète moderne de la musique..." Il n'est pas dit que Mallarmé est un musicien, il n'est que poête.
    Et puis disons: après le romantisme surgit l'impressionnisme. Une évolution succède à une autre. Peut-être s'offusque t'on, et encore, et puis on s'habitue. L'art n'est pas forcemment un long fleuve tranquille, cela est sûr. Et puis le Debussy des débuts diffère certainement du Debussy de la fin.
    En peinture, le Manet du "Déjeuner sur l'herbe en 1863" eclipse légèrement "La liberté guidant le peuple" en 1830 de Delacroix, pour un temps seulement. Mais en 2023 quel critique d'art penserait à dire "intel est meilleur que l'autre". Ils sont rangés dans des tiroirs différents mais accessibles à tous. Un conseil, allez visiter le musée Delacroix: un jeune guide explique tout...
    Enfin vouloir opposer Debussy à Berlioz est une hérésie; ils se complètent dans la grande histoire de l'art musical français. But " my good" doit-on toujours regarder dans le rétroviseur? Oû sont les dignes successeurs de ces génies?

    Bernard T.

  • #1

    Monique (mercredi, 06 janvier 2021 18:08)

    Pour ceux et celles qui sont intéressés par le sujet!
    Voici un joli poème  qui est appelé régulier par le signataire de ce billet,poète de la S P A F , alors que ma référente appelle cela vers libre(rimé mais longueur de vers différente comme il est précisé ici;10/4/6/10 puis 7/7 puis à nouveau 10/4/6/10/et encore 7/7; Pour ma part je trouve cela plus approprié de l'appeler régulier que libre,Dans la suite de ce  billet que je n'ai pas pu scanner il est écrit:. 
    "Contrairement à l'idée répandue, le vers libre est très ancien. Déjà en 1732 Pierre  Restaut le définit ainsi:; Dans les pièces en vers libres,un auteur peut entremêler les rimes de son choix,et donner à chaque vers tel nombre de syllabes qu'il juge à propos,sans suivre d'autres règles que les règles générales de la versification.".
    "Le signataire du billet poursuit::Tout cela pour vous dire que poème n'est pas poésie et qu'en poésie tout est permis même si tout n'est pas possible! De même que nous sommes tous sapiens pareils et en même temps chacun unique et irremplaçable; La poésie chante cette diversité qui fait notre beauté universelle transcendante;"
    Bon tout cela pour vous dire qu'il serait bien imprudent que je vous donne quelques enseignements, chacun, il me semble, trouvera sa propre voie, pourvu,que cela lui plaise!

    J'envoie le poème par mail